Guy Thomas
poèmes, goualantes & insolences
Ce qu'ils en ont pensé....
En lisant Guy Thomas, on se veut le frère d’un homme sincère, douloureux et libre, dont le cri nous réveille et nous délivre.
Jean Rostand
Un grand bouquet de roses sauvages, heureusement vêtues de ronces viriles, quand on pense aux roses courantes et à leurs épines en plastique.
Léo Ferré
Cela sautille comme une java, ça claquette comme une danse macabre, ça saigne comme un mur des fédérés ; ça mord ; ça crache et ça profane ; ça s’attendrit aussi, pas souvent. Un anar sincère. En tout cas, un poète.
Cavanna
J’aime beaucoup le Magnificat et le Salve Regina. J’aime aussi beaucoup la Butte rouge et évidemment le Temps des cerises. Les poèmes de Guy Thomas ne sont pas indignes de ce chef-d’œuvre. Ils s’inscrivent dans la ligne des Carco ou des Corbière que j’admire autant que le cher Toulet.
Jean D’Ormesson
Un homme attachant, un style très dur, très âpre, très critique, très polémique aussi, mais plein d’un grand humour ravageur.
Jean Ferrat
La tradition de Villon, de Rictus, de Carco, de Fombeure est moins moribonde que l’on ne croit. Le plus exigeant de ces anarchistes en vers réguliers est sans doute Guy Thomas, auteur d’un petit livre désopilant.
Le Monde
Fourbis loin des marigots parisiens, ces écrits libertaires éclaboussent d’insolence et d’émotion.
Chorus
Un poète comme je les aime, sincère, sans chichis, une rosette d’ironie à la boutonnière de la révolte. Les poèmes sont étonnants de tendre canaillerie.
Le Canard Enchaîné
Un grand poète. Salut l’artiste !
L’Humanité
Une philosophie de la vie, un manifeste de la liberté, un cri de révolte qui ne laissera indifférent aucun anarchiste.
Le Monde Libertaire
Des goualantes caustiques, sensuelles et malicieuses.
Le Progrès
Au moment où nous montent de France des glapissements râleurs et poujadistes, voilà enfin un souffle de liberté et de bonne révolte libertaire.
Une autre chanson
Guy Thomas poursuit son œuvre : le plasticage joyeux de la connerie tous azimuts. Ce n’est pas méchant. C’est carrément féroce.
Les Dépêches
Des poèmes où le premier degré d’insolence est bien vite franchi pour un univers de tendresse et de sensibilité aiguë.
Paris-Match
Avec une écriture au vitriol, le vocabulaire de la rue qui reste le plus beau et le plus vrai, Guy Thomas décape les esprits, malmène la bêtise, ouvre les cages, coupe les chaînes, assène quelques coups de trique bien mérités.
Le Dauphiné Libéré
Un indécrottable amoureux des mots et des musiques de la rue.
La Wallonie
Des poèmes savoureux,, irrespectueux, tendres, cocasses ; des textes comme on en redemande, scènes de rue ou d’intimité, gravées à mots gourmands, parfois féroces, toujours justes.
L’Est Républicain
Les fameuses insolences de Guy Thomas écorchent le bien-pensant, culbutent l’idée reçue, égratignent la bonne société.
Le Bien Public
Des mots tranchants comme des lames, qui ne nous parlent pas de clair de lune, mais de liberté.
Ouest France
Ce livre s’avale d’un trait, comme une boisson fraîche un soir d’été.
La Tribune